Le ministre Adama Diawara et ses homologues du Maroc et du Congo échangent sur les problèmes structurels de leurs systèmes d'enseignement supérieur

Au cours de l’entretien avec le Ministre marocain, il a été notamment question d’une prochaine rencontre dans l’optique de tisser des partenariats fructueux entre les universités ivoiriennes et marocaines. Avec son homologue du Congo, le ministre Adama Diawara a indiqué avoir remercié le pays hôte pour son soutien dans l’accession de son compatriote Souleymane Konaté au poste de Secrétaire général du Le Conseil africain et malgache pour l’enseignement supérieur (CAMES). "Aujourd’hui à la tête du CAMES, nous avons un Ivoirien qui a été brillamment élu lors de la dernière session élective de cette institution, et je peux vous assurer que pour que notre compatriote puisse accéder à cette charge, il a fallu qu’un certain nombre de pays nous soutiennent. Parmi ces pays, il y a la République sœur du Congo", a déclaré Adama Diawara. "Je puis vous dire que lors de la campagne pour l’élection du professeur Souleymane Konaté, nous sommes passés par Brazzaville et nous avons été chaleureusement accueillis par Mme la ministre et surtout par le chef de l’État congolais", a également soutenu le ministre Adama Diawara avant de préciser que "le soutien du Congo a été très déterminant".* Au cours de cette audience, les ministres Adama Diawara et Delphine Édith Emmanuel Adouki ont abordé les problèmes structurels communs aux systèmes d’enseignement supérieur des deux pays. "Nous avons profité de cette entrevue pour revoir ensemble un certain nombre de préoccupations, un certain nombre de problèmes systémiques qui se posent à nos différents systèmes d’enseignement supérieur", a souligné Adama Diawara "Il y a beaucoup de problèmes qui sont communs à nos sous-secteurs. Il y a donc des retours d’expériences entre nos pays. Lorsqu’il y a un problème qui se pose au sous-secteur, on essaie chacun de son côté, de demander à l’autre comment le problème est résolu à son niveau et on s'en inspire", a indiqué le Ministre ivoirien de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique.

Mai 26, 2024 - 06:30
Le ministre Adama Diawara et ses homologues du Maroc et du Congo échangent sur les problèmes structurels de leurs systèmes d'enseignement supérieur

Au cours de l’entretien avec le Ministre marocain, il a été notamment question d’une prochaine rencontre dans l’optique de tisser des partenariats fructueux entre les universités ivoiriennes et marocaines.

Avec son homologue du Congo, le ministre Adama Diawara a indiqué avoir remercié le pays hôte pour son soutien dans l’accession de son compatriote Souleymane Konaté au poste de Secrétaire général du Le Conseil africain et malgache pour l’enseignement supérieur (CAMES).

"Aujourd’hui à la tête du CAMES, nous avons un Ivoirien qui a été brillamment élu lors de la dernière session élective de cette institution, et je peux vous assurer que pour que notre compatriote puisse accéder à cette charge, il a fallu qu’un certain nombre de pays nous soutiennent. Parmi ces pays, il y a la République sœur du Congo", a déclaré Adama Diawara.

"Je puis vous dire que lors de la campagne pour l’élection du professeur Souleymane Konaté, nous sommes passés par Brazzaville et nous avons été chaleureusement accueillis par Mme la ministre et surtout par le chef de l’État congolais", a également soutenu le ministre Adama Diawara avant de préciser que "le soutien du Congo a été très déterminant".*

Au cours de cette audience, les ministres Adama Diawara et Delphine Édith Emmanuel Adouki ont abordé les problèmes structurels communs aux systèmes d’enseignement supérieur des deux pays.

"Nous avons profité de cette entrevue pour revoir ensemble un certain nombre de préoccupations, un certain nombre de problèmes systémiques qui se posent à nos différents systèmes d’enseignement supérieur", a souligné Adama Diawara

"Il y a beaucoup de problèmes qui sont communs à nos sous-secteurs. Il y a donc des retours d’expériences entre nos pays. Lorsqu’il y a un problème qui se pose au sous-secteur, on essaie chacun de son côté, de demander à l’autre comment le problème est résolu à son niveau et on s'en inspire", a indiqué le Ministre ivoirien de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique.