Togo : l’administration Trump investit dans la sécurité de l’aéroport de Lomé 

Juillet 3, 2025 - 15:10
Togo : l’administration Trump  investit dans la sécurité de l’aéroport de Lomé 
Togo

Au Togo, l’Aéroport international Gnassingbé Eyadéma (AIGE) de Lomé vient de bénéficier de nouveaux équipements de sécurité. Le lots de matériels offert par l’ambassade des USA a été remis de façon officielle ce mardi 1er juillet 2025 à l’Agence nationale de l’aviation civile (ANAC).

Togo : l’administration Trump renforce la sécurité de l’aéroport de Lomé 

Le lot de  matériels en question est composé de quatres détecteurs de traces d’explosifs, de quatres scanners corporels assortis d’une technologie d’imagerie évoluée, ainsi que de plusieurs accessoires complémentaires. Ce matériel est donné par la Transportation Security Administration (TSA), une agence relevant du Département de la Sécurité intérieure des États-Unis.

L’objectif de cet appui est de renforcer les capacités de détection et de préventions des menaces sur la plateformes aéroportuaires :   « Cette remise illustre notre engagement commun pour une sécurité partagée et efficace dans le domaine de l’aviation civile », a indiqué Michael DeTar, chargé d’affaires à l’ambassade des États-Unis au Togo.

En prenant cet appui technique, l’ANAC entend relever les obstacles sécuritaires actuels tout en assurant une meilleure protection des passagers et du personnel aérien, ceci en lien avec les ambitions des autorités togolaises qui veulent faire de l’AIGE un hub régional.

Lire aussi : Le Togo vise 30 % de véhicules électriques sur ses routes d’ici 2030

Notons que cette remise intervient dans un texte ou la plateforme aéroportuaire de Lomé multiplie des initiatives pour renforcer sa sécurité. En effet, à la date du 13 juin dernier, la Société a Société aéroportuaire de Lomé-Tokoin (SALT) avait organisé un nouvel exercice de simulation d’urgence sécuritaire, baptisé Exo Salle EPULO 2025”. L’opération, inscrite dans le cadre du plan d’urgence de l’aéroport, a pour objectif de tester les capacités de réactions, de coordination et de communication des acteurs concernés en cas de situation critique, notamment un crash d’avion