Accident de Molare : les révélations du mari de la victime décédée
Germain Koffi, mari de la femme décédée dans l’accident de Molare, est sorti de son silence. Dans un entretien accordé à RTI, il s’est prononcé sur les circonstances de la mort de son épouse. Il a narré ce qui s’est passé à l’hôpital après l’évacuation de la victime.
Accident de Molare : « Ils ont tout fait, mais ils n’ont pas pu sauver madame », Germain Koffi
Dame Elise Tola, victime décédée dans l’accident de Molare n’était pas enceinte. C’est l’une des informations majeures à retenir de l’intervention de son compagnon. Il assure que sa femme n’était pas enceinte, contrairement à ce qui est ventilé sur les réseaux sociaux.
Dans son récit, Germain Koffi a expliqué le périple par lequel sa compagne est passée à la clinique. « C’est au moins sept poches de sang qu’ils ont essayé d’injecter. J’ai compris dès lors que c’était très complexe », a-t-il confié. Selon ses dires, la victime saignait et n’arrivait plus à coaguler. Cette situation rendait totalement vaine toute injection de sang.
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Dès qu’il a eu l’accès à la salle d’hospitalisation, Germain Koffi a pris le temps de toucher son épouse. « Elle était froide. Ça m’a inquiété », a-t-il déclaré. Dans la foulée, il se fait appeler par le Directeur de la clinique qui va lui annoncer la mauvaise nouvelle. « Aux environs de 9h, le Directeur de la clinique me fait appeler. Il fait sa dissertation et il me dit : ils ont tout fait, mais ils n’ont pas pu sauver madame », a confié le compagnon de la victime.
« Le staff de Molare était vraiment en branle », Germain Koffi
Selon les dires de Germain Koffi, Molare et son staff n’ont pas abandonné sa femme. « Quand je suis arrivé, le staff de Molare était vraiment en branle. Ils étaient tous là ». Il a personnellement discuté avec Molare qui l’a rassuré de sa détermination a fait tout ce qui est humainement possible pour sauver Elise Tola. « Il avait souhaité qu’on les évacue tous deux à Farah, mais ma femme avait des saignements internes, il fallait donc la stabiliser sur place », a-t-il affirmé.
